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    C'est l'histoire d'une vielle dame

    C'est l'histoire d'une vielle dame

     

     

     

    C'est l'histoire d'une vielle dame. Un jour elle vit une tâche sur son four, elle regarda de plus près puis elle vit que la tâche avait la forme d'un visage alors elle décida d'appeller ses vieilles copines. Ces dernières vinrent et elle leurs montra la tâche, et les vieilles femmes affirmmèrent qu'il y avait bel et bien un visage. Alors plus les jours passaient et plus il y avait de visages. Mais un jour la vieille dame tomba très malade. Ses copines vinrent lui rendre visite à l'hôpital et la vieille dame leur demanda si elles voulaient bien voir si tout allais bien chez elle. Elles acceptèrent et y allèrent. À leur grande surprise, elles virent tout les visages sur le four qui pleuraient.
    La vieille dame sortit de l'hôpital et là, les visages ne pleuraient plus. Elle décida de faire des recherches sur sa maison, et elle apprit que sa maison avait été construite sur un cimetière.

     

     

     

     

     

     

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  • La légende du loup-garou

     

    La légende du loup-garou

     

    Légende du loup-garou

     

    Selon la légende, lors des nuits de pleine lune, le loup-garou ayant d’ordinaire une apparence humaine se transforme en un loup énorme avec des sens surdéveloppés. Il acquiert les caractéristiques du loup : puissance musculaire, agilité, ruse et férocité. Il chasse et attaque sans merci ses victimes pour les dévorer. Ne contrôlant plus ses faits et gestes, il peut tuer de nombreuses personnes en une seule nuit.

    Les gens se sont mis à chasser les loups, s’en protégeant avec de l’eau bénite et les tuant avec une balle en argent. Les loups-garous souffraient de la même répulsion que les vampires pour les choses sacrées et étaient considérés comme créatures du Diable.

    Ils se multipliaient en mordant. La malédiction commençait dès la première pleine lune après la morsure de la victime. Une fois la pleine lune passée, les loups-garous pouvaient conserver quelques caractéristiques animales, telles une modification de leur voix et de leurs yeux, des sourcils se rejoignant au-dessus du nez, des ongles légèrement rougeâtres, le majeur un peu plus long, les oreilles implantées un peu plus bas et en arrière de la tête, et de façon générale un peu plus de poils sur les mains, les pieds et dans le dos.

    Le loup-garou est un homme vivant métamorphosé ou un corps qui sort de la tombe sous la forme d'un loup connu et sous le nom de loup-garou fantôme.

    On croyait que le corps métamorphosé était celui d'une âme damnée qui ne trouvait pas le repos dans sa tombe.

    À partir du XVe siècle, les légendes, en Scandinavie, en Russie occidentale et en Europe centrale, font état de l’existence de philtres magiques pouvant aider les loups-garous à retrouver tout leur aspect humain.

     

     

     

     

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  • Bloody Mary

     

    Bloody Mary

      

    Bloody Mary

     

     

     

    Voici la célèbre légende de Bloody Mary, une entité sanglante qui apparaîtrait dans les miroirs lorsqu'on l'invoque. Cette histoire est tellement répandue aux États-Unis qu'un essai y est consacré.

    Le film Candyman est d'ailleurs tiré de cet essai. Pour certains, c'est la Vierge Marie qui vient avertir de ne pas se moquer d'elle. Pour d'autres, c'est une femme morte dans un accident de voiture avec son enfant. Sinon, c’est une sorcière brûlée vive ayant jeté une malédiction sur les villageois et qui hante les miroirs pour attaquer ceux qui seront assez fous pour l'invoquer.

    Une autre version soutien que c'est une jeune femme, trompée par son mari, qui s'est suicidée dans sa salle de bain. Le miroir aurait alors aspiré son esprit et elle viendrait prévenir celles qui seront victimes d'infidélités.

    Son aspect est celui d'une belle jeune femme, mutilée et recouverte de sang, dont les yeux haineux vous toisent avec mépris. Il existe plusieurs façons de l'invoquer, mais la plus répandue est la suivante.

    À minuit, éteignez les lumières de la pièce dans laquelle vous vous trouvez et placez-vous devant un miroir. Disposez deux cierges de chaque côté de celui-ci. Tout en tournant sur vous même et en fixant votre reflet dans la glace lorsque vous passez devant, répétez 13 fois « Bloody Mary ». Commencez par chuchoter son nom, puis dites le de plus en plus fort, jusqu'à le crier. Si à la treizième fois vous criez : « Bloody Mary, I killed your baby », cela déclenchera la colère de l'esprit, et une attaque immédiate.

    En remplaçant le nom de Bloody Mary par celui de « Hell Mary », c'est Satan qui apparaîtra dans le miroir...

    Plusieurs personnes ont voulu faire cesser cette légende en tentant l'invocation. Une jeune femme, le lendemain de son invocation, était tellement bouleversée qu'on ne sut jamais ce qui s'était passé. Une autre s'est cassé la hanche en sortant de sa salle de bain après avoir crié « Je ne crois pas en toi, Bloody Mary! ». Une dernière tenta l'expérience après avoir prévenu la police et son entourage. Le lendemain, on la retrouva poignardée dans sa salle de bain...

    Tenterez-vous de l'invoquer?

     

     

     

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  • Histoires d'horreur > La maison hantée

     

    Histoires d'horreur > La maison hantée

     

    Une famille de notre connaissance, qui vient d'aménager dans unmaison construite il y a une cinquantaine d'années, a constaté dès son arrivée des troubles divers, des bruits inexpliqués provenant le plus souvent du sous-sol. En désespoir de cause, ils font appel à nous. Cela représente une nouvelle expérience pour le groupe qui n'est jamais intervenu de façon solidaire dans ce contexte.
    Trois médiums se sont rendus sur les lieux : Catherine, Alain et Christian. Arrivés au premier sous-sol, ils ressentent une ambiance négative et désagréable ; au deuxième sous-sol, ils sont pris d'angoisse, de nausées et doivent mobiliser toute leur énergie pour ne pas faire demi-tour.
    C'est bi
    en là que « ça » se passe.
    Ce sous-sol a été aménagé en boîte 
    de nuit et les sensations sont très lourdes, l'angoisse semble suinter des murs. Qu'a-t-il bien pu se passer ici, quel type d'Esprit est resté attaché à ces lieux ? Mais nous ne sommes pas venus pour juger, nous sommes là avant tout pour venir en aide à ces Esprits, les raisonner, les moraliser, pour qu'ils puissent se libérer de ces lieux et libérer ces lieux.
    Voici le résumé de cette intervention qui a duré plus d
    'une heure:

    Nou
    s demandons à Françoise, la maîtresse de maison, de dire une prière. Françoise, qui est catholique pratiquante a les plus grandes difficultés à réciter le « Notre Père » car un Esprit s'amuse à la faire bafouiller et à intervertir les termes. Elle doit répéter plusieurs fois cette prière avant de la dire correctement. Puis elle leur demande en termes simples et directs de partir de cette maison, de laisser sa famille tranquille.
    Catherine lit une prière des
    tinée aux Esprits souffrants et endurcis, extraite de « l'évangile selon le Spiritisme ». Le ton est volontairement déterminé et tranchant pour obtenir une réaction de ces Esprits. Cette réaction est immédiate puisque, depuis le début, Christian a incorporé un Esprit agité qui ne cesse de psalmodier ces mots : « prêchi-prêcha, prêchi-prêcha, etc... » alors que deux autres Esprits ricanent.
    Enfin, l'Esprit incorpo
    ré s'exprime, en termes véhéments. Ses premiers mots sont :
    « Que faites-vous ici, chez nous ? C'est à vous de déguerpir et de nous laisser tranquilles ! Nous sommes chez nous, partez ! »
    Avec une douceur infinie, beaucoup d'amour et de compassion, un Esprit supérieur, un guide répond, par la bouche de Catherine, que ces médiums sont là simplement par compassion pour eux, pour les aider à se sortir de cette situation, de cette prison où ils se terrent et qu'ils peuvent accéder s'ils le veulent à un monde où ils existeront vraiment, où ils seront entourés, aidés, où ils percevront la lumière, où ils auront la possibilité d'évoluer, que cela ne dépend que d'eux, qu'il leur est simplement demandé de faire un premier pas.
    L'Esprit ne répond pa
    s tout de suite, il est très troublé par la force et la douceur irrésistible de l'Esprit supérieur qui lui répond. Il finit par avouer qu'on ne lui a jamais parlé comme ça et que la compassion, il n'a jamais connu... Il est partagé entre l'envie d'écouter cet Esprit évolué, de le suivre dans cette ouverture et l'attachement à ce lieu, à cet état et aux autres Esprits qui sont là.
    Puis il se « 
    ressaisit » et revient à son idée fixe : « Ici, c'est chez nous, nous ne pouvons pas partir... De toute façon, après ce que j'ai fait, enfin... ce que l'on m'a fait faire, je ne peux pas sortir d'ici, je suis enchaîné ! Et dehors, on nous attend pour la punition... un châtiment terrible, à la mesure de ce qu'on a fait ! »
    Sans se dépar
    tir de sa grande douceur et de sa patience sans limite, l'Esprit évolué lui répond que le châtiment dont il parle, il se l'inflige lui-même depuis bien longtemps en restant prostré dans ce lieu froid et sombre comme une oubliette. 
    « Oui, tu es attendu à la 
    sortie de cette geôle, attendu par ton guide dans la joie et le pardon, car le pardon de Dieu existe pour tous ses enfants. Tu n'auras plus peur, tu n'auras plus froid »... Au fil de la conversation, on comprend que cet Esprit n'est pas foncièrement méchant mais plutôt égaré et souffrant. Maintenant lui apparaît l'espoir qu'il peut s'arracher à cet état misérable pour accéder à un niveau de conscience supérieur qui lui permettra d'évoluer enfin, mais il est déchiré entre cet espoir et l'attachement malsain à ce lieu, cette tanière, à ses compagnons de misère et à cette peur du châtiment, à cette honte sous-jacente. 
    Dans chaque réponse
    on le voit osciller entre cet espoir et cette peur/honte, entre le positif et le négatif, la lumière et les ténèbres.
    L'Es
    prit guide qui a compris que s'il parvient à décider cet Esprit difficile, les deux autres le suivront, déploie des trésors de tendresse pour le raisonner ; mais l'Esprit résiste et se retranche encore derrière ses compères. Le médium est épuisé et l'incorporatiodoit se conclure. 
    « Vous m'avez fait apercevoir des poss
    ibilités auxquelles je ne croyais plus, j'ai ressenti l'amour vrai avec lequel tu m'as parlé... Je ne pensais pas que je pouvais être aimé comme ça, et peut-être pardonné. J'ai vraiment envie et besoin de cette lumière dont tu m'as parlé, mais tout ça je me demande si ce n'est pas trop beau pour être vrai... J'ai besoin de réfléchir et d'en parler aux autres. Je ne dis pas oui, mais je ne dis pas non, je vais réfléchir... »
    Rendez
    -vous tacite est pris pour la semaine suivante, cet Esprit semble prêt à sauter le pas mais qu'en sera-t-il pour ceux qui sont restés tapis, goguenards ? Ils semblent plus endurcis et moins accessibles à la raison.

    Deuxième séanc
    e, huit jours plus tard.
    Malgré les prières des habi
    tants de la maison, l'ambiance s'est détériorée encore, les disputes se multiplient ainsi que les manifestations...
    L'équipe des 
    médiums s'est renforcée : aux trois premiers se sont joints Annick, Bernard et Gilles. L'Esprit va-t-il tenir sa promesse et s'incorporer à nouveau, les autres Esprits vont-ils se manifester ?
    Catherine a préparé 
    une prière circonstanciée, très dense. Françoise, présente, leur renouvelle sa demande de les voir partir. Tous les médiums sont prévenus : il risque d'y avoir plusieurs incorporations simultanées ; ces incorporations seront sans doute pénibles et il conviendra de les retenir, de les différer afin d'éviter la confusion et que chacun puisse parler à son tour. Et en effet, les médiums diront à l'issue de la séance que dès les premiers instants, chaque Esprit était là, incorporé, prêt à parler et que chaque médium a dû faire un effort important pour les contenir.
    Catherine dit la prière ; aussitôt l'Esprit incorporé la s
    emaine précédente se manifeste en reprochant certains termes de la prière.
    «tu dis que nous sommes méchants et endurcis
    . Nous ne sommes pas méchants, pas endurcis. D'ailleurs qui êtes-vous, vous, pour venir nous donner des leçons ? Vous n'avez donc jamais commis d'erreurs, vous n'avez pas de travers, vous êtes parfaits, quoi ! Laissez-nous donc, puisque nous sommes si imparfaits ! »
    Le ton est donné, il semble reve
    nu à son attitude méfiante et agressive du départ. Mais Catherine lui répond :
    « 
    Tu n'as retenu que ces seuls mots ?
    Non, j'ai bien écouté chaque partie de ton discours.
    - Tu 
    as du entendre que chaque Esprit doit se perfectionner au fil du temps et des vies. Nous-même sommes probablement tombés dans les mêmes errements que vous, peut-être pires ; mais, si nous sommes encore très loin de la perfection, nous avons compris, nous avons admis la nécessité de progresser et nous nous efforçons chaque jour d'y parvenir. »
    L'Esprit sembl
    e touché par cet argument, mais il ne veut pas lâcher prise et ergote. En fait, et chacun le sent à ce moment-là, c'est peut-être bien cet Esprit le plus retors, le plus difficile. Il est évolué, sans doute plus que les autres, il a la conscience de Dieu, du guide spirituel et de l'évolution, mais il discute pied à pied chaque argument.
    Dans le dialogue, il 
    apprend qu'il pourra se réincarner dans de bien meilleures conditions et qu'il naîtra au sein d'une famille aimante, avec un père et une mère attentionnés. L'Esprit reste silencieupuis, incrédule et espérant à la fois, il demande :
    « Tu 
    veux dire un vrai père et une vraie mère... et ils ne m'abandonneront pas ? »
    Le ton a changé, c'est le moment clef. Lors
    qu'on lui confirme qu'il sera un enfant aimé, jamais abandonné, cet Esprit s'effondre et le médium est secoué de sanglots...
    Alors Catherine lui montre ce pas qu'il doit faire pour 
    accéder à la lumière, se sortir de ce trou, lui parle de son guide et de ceux qui l'attendent pour l'aider, pour l'aimer. Il renâcle encore un peu, bien que sa décision soit déjà prise : 
    « Oui, je veux ça... je n'ai plus guère d'autre choix
    , je crois, mais je ne peupas laisser là les autres, ils ne comprendraient pas. »
    - Mais, au contraire, tu dois le fai
    re pour toi, mais aussi pour euxIls te suivront, tu sais. »
    Encore quelques hésitations et il se décide à faire ce pa
    s qui lui semble immense :
    « D'accor
    d, je vous fais confiance... je te fais confiance à toi qui a su me parler sans me juger. Je te crois, je pense qu'il n'y a pas de piège. »
    Il e
    st d'abord troublé puis, peu à peu, il se sent tiré vers le haut et perçoit de la lumière, une lumière qui l'inonde maintenant. Juste avant de se fondre dans cette lumière, il murmure, comme une main tendue à ses compagnons :
    « Vous 
    pouvez venir, il n'y a pas de piège... pas de piège. »
    Ce dialogue 
    aura été très long et très difficile, mais très riche ausspour chacun.
    Rapid
    ement, le deuxième Esprit, incorporé par Annick prend la parole :
    « Et alors, on me demande rien, à 
    moi ? Et d'abord, il se prend pour qui l'autre et de quel droit il parle en mon nom ? Un silence, puis : Il est vraiment parti ? »
    Gilles lui répond :
    « Ou
    i, il est parti, il est maintenant dans la lumière, dans l'amour... Tu ne veux pas faire comme lui ?
    - Alors parce que lui il par
    t, il faut qu'on parte aussi ! Et pour le retrouver ! ... Ah non ! Moi je suis bien là, et encore mieux s'il n'y est plus ! Tu sais... je ne l'aimais pas. Et c'est chez moi, ici. J'étais là bien avant lui, j'étais là le premier. Moi, je reste. Je n'embête personne. C'est eux qui ont embêté les gens qui sont arrivés... pas moi ! Moi, je n'ai rien à voir avec eux, je suis bien tranquille ici et je ne demande rien à personne ! "
    Gilles lui 
    parle aussi de l'amour et de la lumière qu'il peut facilement retrouver, que lui aussi aura droit au pardon et à refaire une vie meilleure.
    « L'amour, il y a 
    longtemps que je ne sais plus ce que c'est... mais ici je suis tranquille.
    - Il fa
    udra pourtant bien que tu évolues, tôt ou tard. Tu veux rester encore combien de temps dans cet état, dans ce trou à rat ?
    - C'est vrai que c'est pas terrible ici, surto
    ut depuis que les autres sont arrivés, avec toutes leurs chinoiseries (L'Esprit parle des prières que la famille fait chaque soir depuis une semaine), je ne suis même plus si tranquille !
    Tu sais, l'autre Esprit a fait le bon choix, il est déjà auprès de son guide qui va l'orienter pour une nouvelle vie.
    Oui, j'ai entendu ce que vous lui avez dit... mais t'es vraiment sûr que ce sera pareil pour moi, que je pourrais retrouver une famille ?
    - Oui, c'est certain... d'ailleurs, tu as en
    tendu : il n'y a pas de piège.
    - De toute façon, ça ne me p
    laît plus guère ici, et si l'autre y est arrivé... je ne suis pas plus bête que lui ! Mais je ne veux pas le retrouver, celui-là !
    - N'aie aucune craint
    e !
    - Qu'est-ce que je dois 
    faire ?
    - Demande l'
    aide de ton guide, oriente-toi vers la lumière et laisse-toi conduire. »

    Ave
    c l'aide de Gilles, cet Esprit se dégage peu à peu.
    « Je vois une trappe lumine
    use qui s'ouvre et je me sens aspiré en haut, vers cette trappe... c'est une sensation agréable ! »
    Ce sont ses derniers 
    mots.

    Aussitôt, le troisième Esprit, incorporé par Bern
    ard intervient, interloqué et paniqué :
    « Mais... mais... ils m'o
    nt laissé tomber ! Qu'est-ce que je vais devenir, tout seul ? »
    Al
    ain lui répond :
    « Tu n'as plus ri
    en à faire ici, il faut les suivre, aller vers la lumière. Le moment est venu pour toi aussi. »
    Le médium, qui ressent la pe
    ur panique de cet Esprit est pris de tremblements. S'ensuit un dialogue où l'Esprit, peu évolué, va constater maintes fois qu'il est désormais seul et exprimer sa peur, son trouble et son scepticisme alors qu'inlassablement Alain lui demande de se tourner vers la lumière.
    « Tu me parles de lumière, mais je ne vo
    is rien que le noir. Je suis comme au fond d'un puits. J'ai peur d'aller dehors et de toute façon, je ne peux pas ! »
    A
    u fil du dialogue, l'Esprit se sent lentement monter dans ce puits, percevant de vagues lueurs, puis un peu de clarté et enfin, semble sortir de ce puits, dans une grande lumière. Il se sent sauvé et remercie.

    Cette réunion aura duré deu
    x heures et c'est fatigués mais le cœur empli de la satisfaction du travail accompli que les médiums quittent ces lieux désormais débarrassés de souffrance et de peur. Tous ont ressenti comme un grand souffle d'air dans ce sous-sol, comme un grand coup de balai. Il n'y a plus cette atmosphère angoissante et oppressante, il nreste plus qu'une cave délabrée que la poussière avait envahi !

     

     

     

     

     

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  • Histoires d'horreur > Annabelle

     

    Annabelle 

    Annabelle

     

     

     

     

     

     

     

     

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